01798nlm0 22002051i 450 001001200000006001900012007001500031008004100046020001800087040000800105100001800113245012500131260001200256260003000268300001100298520101400309856009301323856009601416856008001512HARMA 79094m g0 d cr mn ---auama240517c go d fre  a9782336434575 bfre0 aJoseph Rouzel aPoésie et psychanalyse - L’interprétation, c’est la poésiebL’interprétation, c’est la poésie -  aParis : bEditions L'Harmattan a144 p. a« Que vous soyez inspirés éventuellement par quelque chose de l’ordre de la poésie pour intervenir, c’est bien vers quoi il faut vous tourner. » (Jacques Lacan) Si l’interprétation chez Lacan relève d’un « dire de l’analyste », de quelle nature est ce dire, quel en est le sens ou plutôt le hors-sens ?<br>Le poète réussit un « tour de force » qui est, non pas de produire du sens à joui-sens que veux-tu, mais de scier le sens : il laisse l’équivoque à ciel ouvert. Comme le poète, l’analyste lui aussi scie le sens. Il suspend, il coupe, il ponctue, il tranche, il scie. Son dire ouvre dans la parole du patient un trou, quand il arrive à « réaliser ce tour de force de faire qu’un sens soit absent », qu’il le réduit à un « sens blanc ». Ce « sens blanc » du discours de l’analyste, comme de la création du poète, s’oppose au maître contemporain, fruit de l’alliance entre logiques de marché et rationalité scientifique moderne.40uhttps://www.editions-harmattan.fr/catalogue/couv/9782336434575r.jpg2Image de couverture40uhttps://www.harmatheque.com/downloadebook/97823364345752Télécharger le livre au format PDF40uhttps://www.harmatheque.com/readebook/97823364345752Lire ce livre en ligne