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Michèle Peltier-Poirier
Marie-Claire Lhomme - Grangeponte
Annick Kemet-Estève
Monique Bavaud - Akdag
Marie Lossky - Avril
Françoise Deroy-Pineau
Françoise Deroy-Pineau, Marie-Claire Lhomme-Grange
Par Catherine Coquio Présidente d'Aircrige
Par Sévane Garibian, Doctorante, Université de Par
UNE ÉDUCATION QUI FORMAIT LE CORPS ET L'ESPRIT
Michèle Peltier-Poirier
J'arrivais à Tours en 1941, avec mes parents, pèreingénieur aux mines de la Houve à Creutzva...
LES CLASSES NOUVELLES, LA FEMME ET LE MICROSCOPE
Marie-Claire Lhomme - Grangeponte
J'ai commencé des études secondaires au Lycée Balzacen 1948.J'avais onze ans et je vena...
GESTION DU CHANGEMENT, TRAVAIL EN GROUPE... ET SCOUTISME
Annick Kemet-Estève
Je suis arrivée au Lycée Balzac en classe de septième,venant de Saint-Martin (pensionnat religieu...
LES CLASSSES NOUVELLES, LES SUISSES ET LA TOURAINE - Martine Arnault
Juillet 1947, distribution des prix à St-Branchs, petitecommune située à une vingtaine de kilomèt...
DE L'EUROPE EN GUERRE À L'EUROPE EN PAIX
Monique Bavaud - Akdag
Octobre 1948. Ça y est, nous sommes dans la cour desgrandes. Quand nous étions dans les classes p...
VIEUX SOUVENIRS SUR DES CLASSES NOUVELLES
Marie Lossky - Avril
Arrivée d'Autriche où mon père récupérait des objets d'artemportés de France par les Al...
DES CLASSES NOUVELLES AUX PIONNIERES DE LA NOUVELLE-FRANCE
Françoise Deroy-Pineau
En franchissant à huit ans les portes du Lycée Balzac deTours, je ne me doutais pas que j'en...
PETITE HISTOIRE DES CLASSES NOUVELLES
Françoise Deroy-Pineau, Marie-Claire Lhomme-Grange
Une fois nos témoignages rassemblés, il nous a parunécessaire de connaître l'origine et le s...
D'UN ART FRANÇAIS DE LA "PARENTHÈSE
Par Catherine Coquio Présidente d'Aircrige
"L'oubli et je dirais même l'erreur historique sont un facteur essentiel de lacréation ...
LE GÉNOCIDE ARTNÉNIEN HORS-LA-LOI?
Par Sévane Garibian, Doctorante, Université de Par
Faut-il craindre la reconnaissance d'un génocide par la loi? On est tenté de lecroire au reg...